REMOCOSAN vise à renforcer la coopération transfrontalière en santé dans la GRANDE REGION (GR) entre ses composantes belge, luxembourgeoise, française et allemande.
REMOCOSAN a pour finalité de répondre aux enjeux sanitaires des quatre systèmes de santé en :
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Depuis sa création en 1957, le Benelux, une union à l’origine économique entre la Belgique, les Pays-Bas et le Luxembourg, est un pionnier de la coopération transfrontalière et un laboratoire de la coopération européenne, à la fois comme précurseur et comme complément de la politique européenne. En 2016, déjà, le secrétariat-général du Benelux a publié le rapport « Patients sans frontières : Flux transfrontaliers de patients au Benelux ». Cette étude a fourni la première vue complète des flux transfrontaliers de patients dans une région européenne. En 2018, le secrétariat-général du Benelux a publié un deuxième rapport intitulé « Obstacles et opportunités sanitaires au-delà des frontières au Benelux ». Les recommandations visent à améliorer les soins transfrontaliers, l’accès général aux soins et leur qualité. Sur ces bases notamment: Une décision (càd un instrument juridiquement contraignant) Benelux de 2016 autorise le transport transfrontalier urgent par ambulance (et SAMU/SMUR) ainsi que le transport d’organes entre la Belgique et le Luxembourg. Une décision Benelux a été signée en 2020 sur l’échange transfrontalier de données personnelles électroniques dans le secteur de la santé, à savoir E-Health. Les membres du Groupe E-Santé examinent actuellement quels changements ils doivent apporter à leurs systèmes respectifs et sur quoi ils peuvent travailler ensemble. Un échange d’informations opérationnel a été instauré dans le contexte de l’épidémie de Covid entre les ministères de la Santé des trois pays sur des questions telles que les stocks stratégiques et leur gestion.
L’association du secrétariat général du Benelux au projet sous la forme d’un partenariat méthodologique permettra à l’Union Benelux de faire profiter les parties prenantes des résultats pertinents de ces travaux et d’autres à venir. De la même manière, le Benelux peut profiter des meilleures pratiques mises en place dans la Grande Région concernant la coopération transfrontalière dans le domaine de la santé.
Partenaire ( extrait du projet REMOCOSAN)
La Mutualité se doit de participer à l’exécution de l’assurance obligatoire soins de santé et indemnités, d’accorder des remboursements à ses membres pour la prévention et le traitement de la maladie et de l’invalidité, et d’octroyer des indemnités en cas d’incapacité de travail ou pour la promotion du bien-être physique, psychique ou social mais aussi de fournir l’aide, l’information, la guidance et l’assistance en vue de promouvoir le bien-être physique, psychique et social. Elle a donc les compétences techniques qui pourront répondre à la mise en place de mécanismes et de dispositifs induits par la coopération transfrontalière. De par sa localisation, La Mutualité Socialiste du Luxembourg a souhaité renforcer la proximité avec ses affiliés du Sud de la province et améliorer encore la qualité de ses services en ouvrant un service dénommé « Relations Internationales » pour les travailleurs confrontés à la complexité des interactions des réglementations entre leur pays de résidence et le pays dans lequel ils exercent leur profession, notamment en matière de couverture sociale. D’autre part, la Mutualité Socialiste du Luxembourg s’est fortement investie dans la programmation Interreg V pour contribuer aux réalisations du projet COSAN dans un rôle de coordination et de gestion administrative et dans la production de recherches et d’argumentaires.
La Mutualité mettra à disposition du personnel qui pourra coordonner les actions des opérateurs, participer à la réalisations des objectifs de certaines actions, rédiger les rapports de réunions, organiser les rencontres …
Elle mettra tout en oeuvre pour réaliser les objectifs du projet dans les trois MT de REMOCOSAN comme elle l’a fait dans le cadre du projet COSAN avec le succès que l’on connait au niveau de la création d’un accord-cadre de coopération sanitaire entre le GDL et la BE auquel la MSL a fortement contribué à sa conception.
Par ailleurs, la Mutualité socialiste du Luxembourg exerce la présidence du Collègue intermutualiste provincial et de ce fait tient informée les autres organismes mutualistes de l’évolution des avancées dans les projets de coopération sanitaire transfrontalière.
La MSL joue un rôle important en matière d’accès aux soins transfrontaliers en tant qu’organisme assureur maladie mais aussi en tant que présidente du Collège Intermutueliste provincial depuis de nombreuses années. De plus, elle est impliquée dans la ZOAST Lorlux et la prise en charge des soins transfrontaliers des travailleurs frontaliers et autres soins à l’étranger.
Au cours de la programmation Interreg V, la Mutualité Socialiste du Luxembourg a participé activement aux projets COSAN (GR) et COPROSEPAT (FWV).
Elle a acquis tout au long de cet engagement transfrontalier, une expérience et une compétence importante au niveau des travaux de coopération transfrontalière en santé.
Partenaire ( extrait du projet REMOCOSAN)
La MSSP dispose d’une expérience de médecin généraliste en milieu rural depuis 15 ans, soucieuse d’un manque d’offre de soin de notre territoire
Participer à la lutte contre les déserts médicaux et réfléchir à une organisation transfrontalière du soins afin de répondre à une population elle même transfrontalière, qui souffre d’un manque d’attractivité de leur territoire.
La MSPP souhaite s’investir dans le cadre du développement du projet de la Province de Luxembourg et de VIvalia au niveau d’un cabinet mobile de consultations de médecine générale mais aussi dans la perspective de la création d’un centre de soins non programmés au niveau transfrontalier et enfin dans le renforcement du dispositif d’aide médicale urgente transfrontalière entre le nord de la Meuse et le sud de la Province du Luxembourg.
Partenaire ( extrait du projet REMOCOSAN)
En tant que plate-forme de soins palliatifs depuis plus de 20 ans, nous avons acquis une certaine expérience dans le domaine des soins palliatifs. Nous sommes connus et reconnus du réseau palliatif de la province de Luxembourg mais également du réseau wallon.
Au sein de notre asbl nous comptons différents profils tels que psychologue, assistante sociale, coordinatrice, formateur, … Nous nous complétons et répondons aux missions de la plate-forme; diffuser la culture palliative, informer et sensibiliser, former les professionnels et les volontaires, encourager les collaboration autour de la question de fin de vie, évaluer les besoins du terrain et être un lieu de réflexion.
Notre équipe a à cœur d’améliorer nos pratiques pour optimiser la qualité de vie des patients.
Nous sommes donc toujours en recherche d’amélioration, d’innovation dans les accompagnements des patients et de leurs proches.
La plateforme de soins palliatifs contribuera activement au module de travail 3 sur les soins palliatifs en partageant des données, en favorisant les échanges de pratique, et en amenant son expertise
acquise et la connaissance du terrain
Partenaire ( extrait du projet REMOCOSAN)
L’Hôpital de Mont-Saint-Martin est un partenaire de la coopération transfrontalière ZOAST et un opérateur incontournable de la réponse dans la prise en charge des soins de son territoire.
La proximité de l’établissement avec les pays frontaliers favorise les échanges croisés avec les autres établissements situés au-delà de la frontière.
Les patients disposent d’un libre accès aux soins quel que soit leur territoire d’origine.
Durant la crise sanitaire de la Covid, l’Hôpital s’est positionné comme un acteur prépondérant dans la réponse de l’accueil des patients par sa réactivité à mettre en place les solutions adéquates, mais également en répondant aux besoins de prévention par la mise en place d’un centre de vaccination et des équipes dédiées aux tests PCR.
Dans la multiplicité des disciplines offertes par l’Hôpital, la prise en charge au titre des soins palliatifs est plus que présente. Elle s’appuie sur un service de soins palliatifs bénéficiant du concours d’une équipe mobile de soins palliatifs répondant ainsi aux besoins croissants de la patientèle et de l’accompagnement en fin de vie de celle-ci.
Dans le cadre du projet COSAN, l’hôpital de MSM était intégré en tant qu’opérateur partenaire.
Dans le cadre du projet, l’hôpital est en mesure d’apporter son expertise dans le domaine des soins palliatifs mais également de participer pleinement à la réflexion du positionnement des soins palliatifs dans le parcours de soins et de la capacité à promouvoir cette prise en charge sur les territoires défavorisés. Ainsi la construction d’une « filière » de soins palliatifs en amont et en aval des soins hospitalier et en réseau avec les acteurs de l’espace transfrontalier doit infléchir les pratiques autour d’une philosophie commune sur ce sujet délicat. De plus la question des soins palliatifs à domicile doit être investigué et fort de notre expertise en soins à domicile nous participerons activement aux réflexions et engagement nécessaire à leur mise en œuvre. L’hôpital de MSM participe de plus au dispositif du SMUR transfrontalier avec l’hôpital d’Arlon et d’autres conventions sont existantes (Réanimation …).
L’Hôpital de Mont-Saint-Martin a participé à de nombreuses reprises à la mise en oeuvre de projets de coopération sanitaire transfrontalier dans le cadre des dernières programmations Interreg. Il est l’un des principaux acteurs de la santé intégré au dispositif de la ZOAST Lorlux depuis sa création le 30/06 /2007. L’hôpital de MSM a permis de réaliser une expérience unique dans l’UE dans le cadre de l’aide médicale urgente en intervenant en première intention sur le territoire des communes belge d’Aubange et de Musson. Récemment, il a été opérateur partenaire dans les projets Interreg V COSAN (GR) et COPROSEPAT (FWV).
Partenaire ( extrait du projet REMOCOSAN)
Le Centre Hospitalier Emile Mayrisch (CHEM) est un hôpital aigu de 600 lits situé à proximité des frontières française et belge, qui offre tout l’éventail d’une médecine moderne pour garantir une prise en charge optimale et hautement spécialisée des pathologies allant des plus simples aux plus complexes.
Le CHEM participe depuis des années à différents projets transfrontaliers, dont récemment Interreg V COSAN. Il contribue activement à l’élaboration d’un projet de coopération sanitaire dans l’espace transfrontalier trinational belgo-franco-luxembourgeois par extension de la ZOAST LUXLOR vers le Grand-Duché. L’analyse détaillée effectuée par un consultant en 2021 dans le cadre du projet du CHEM de développement d’un concept de filière de soins transfrontalière entre la France et le Luxembourg a permis de faire un état des lieux des possibilités actuelles de collaboration sur le terrain.
L’offre de soins est très hétérogène dans la région transfrontalière et la démographie médicale est défavorable du côté français, tout particulièrement au niveau des soins primaires. Une volonté forte existe entre la Belgique, la France et le Luxembourg de réaliser des projets communs en vue d’améliorer le suivi des patients, en particulier chroniques
Notre but : mettre la compétence des équipes du CHEM à disposition pour servir les objectifs du projet afin de fournir à la population de la GR une prise en charge plus cohérente, moderne et efficace. Par ex. dans le cadre des collaborations inter-hospitalière nous souhaitons participer à la mise en place d’une maison médicale en FR pour garantir les soins primaires et organiser les parcours de soins vers le CHR Metz-Thionville ou le CHEM en fonction des interventions nécessaires de spécialistes. Le personnel franco-luxembourgeois, sera formé pour guider le patient dans les circuits de soins du côté FR et du côté LU et sera apte à conseiller les patients sur les modalités de remboursement dans le système de santé concerné. Concernant le module sur les soins palliatifs nous faisons le constat qu’une hospitalisation à domicile (HAD) transfrontalière n’est actuellement pas possible pour les patients pris en charge au CHEM. Nous souhaitons participer à l’élaboration d’un projet pilote d’hospitalisation à domicile en FR avec du personnel salarié du CHEM. Nous nous focaliserons d’abord sur la médecine palliative, domaine dans lequel notre personnel dispose déjà d’une expertise solide. Une collaboration structurée avec des équipes d’infirmières libérales françaises pourra être mise en place pour permettre la continuité des soins. Afin de prendre en charge les patients en toute sécurité, le transfert des données médicales du dossier patient dans la région transfrontalière est indispensable. Nous proposerons l’élaboration d’ une application de santé pour les patients permettant la transmission sécurisée des données informatiques grâce un outil géré par le patient lui-même sur son téléphone portable. Cet outil fonctionne déjà pour les patients du CHEM et pourrait être mis en place dans les déplacements transfrontaliers. Cette digitalisation permettra d’accélérer le partage des données de santé, notre modèle pouvant servir d’exemple pour une application à plus grande échelle.
Partenaire ( extrait du projet REMOCOSAN)
Le partenaire du projet est l’une des autorités sanitaires suprêmes de la Rhénanie-Palatinat. Dans le cadre de sa politique de santé publique, le Ministère des Sciences et de la Santé (MWG) est chargé de missions relevant des soins de santé, de la prévention, de la promotion de la santé, du soutien mutuel entre patients, des services de santé publique, de l’hygiène, de la protection contre les infections, des médicaments et dispositifs médicaux, de la législation en matière de santé, des professions de santé reconnues par la loi, de la surveillance juridique et de la gestion de la pandémie de Covid.
A travers le plan des hôpitaux de la Rhénanie-Palatinat, il assure les soins hospitaliers en offrant à la population de ce Land des prestations médicales liées à l’hospitalisation.
Au sein du MWG le personnel chargé de la mise en œuvre de la coopération transfrontalière disposent dans ce domaine d’une longue expérience que certains d’entre eux ont acquise au cours de plusieurs dizaines d’années. En rattachant la coopération transfrontalière en matière de santé notamment à la mission centrale de la planification des hôpitaux, le MWG poursuit l’objectif de renforcer les soins médicaux transfrontaliers, en particulier dans le secteur de l’hospitalisation.
Le MWG examinera toutes les démarches administratives nécessaires à la coopération transfrontalière envisagée et les réalisera dans la mesure où elles sont juridiquement possibles. A cet effet, il participera à toutes les réunions et discussions organisées sur le sujet de la santé dans le territoire couvert par le mandat de la Grande Région, y compris à celles du Comité économique et social de la Grande Région (CESGR). Par le rôle qu’il joue traditionnellement dans le cadre de la planification des hôpitaux, le MWG est autorisé et en mesure d’apprécier les sujets liés aux soins de santé dans le contexte global de la région de la Rhénanie-Palatinat et d’approcher les acteurs pertinents en la matière ainsi que les organismes payeurs.
Le MWG et les collaborateurs chargés de la mise en œuvre de la coopération transfrontalière disposent d’une expérience de plusieurs dizaines d’années dans ce domaine. En rattachant la coopération transfrontalière dans le secteur de la santé à sa mission principale de planification hospitalière, le MWG poursuit l’objectif d’une prise en charge médicale transfrontalière de plus en plus importante, en particulier dans le secteur de la santé hospitalière.
Partenaire ( extrait du projet REMOCOSAN)
L’Université du Luxembourg est un pôle d’excellence en analyse des trajectoires de soins et des pratiques transfrontalière des offres de soins de proximité aux patients faisant face à des polypathologies chroniques aux abords de la fin de vie, en termes de différentiations sociales et territoriales (genre, langue, dispositifs administratifs, etc.) et d’inégalités (diplôme, revenu, patrimoine, etc.).
Il s’agit d’identifier pour les patients, aidants, professionnels de santé et institutions de soins (hôpital, HAD, maisons de soin, médecine palliative, etc.), les aspects réglementaires et juridiques, la réalité ressentie à l’égard des soins palliatifs, les besoins présents et émergents d’empowerment, et les problèmes d’accès aux prestations de soins y compris transfrontaliers, éprouvés par l’ensemble des acteurs.
L’équipe UNILU bénéficie d’une riche expérience issue du projet APPS-INTERREG : approche patients-partenaires, coordination des réseaux de compétences, évaluation des bonnes pratiques en éducation thérapeutique des patients ETP.
L’équipe UNILU offre une large palette de compétences synergiques dans :
*les diagnostics sur les pratiques des soins palliatifs associant patients, professionnels et institutions de soins
*la mise en place d’enquêtes qualitatives et quantitatives des offres de soins de proximité et leurs analyses
*l’analyse comparative, institutionnelle et sociale, des enjeux liés au suivi des maladies chroniques notamment en contexte transfrontalier dans ses aspects de surveillance et de prévention
*l’évaluation des enjeux de la capitalisation des échanges et des formations (éducation thérapeutique des patients ETP), des aidants et des autres acteurs, dans et hors du contexte hospitalier
Le rôle de l’équipe UNILU sera de produire :
*un état des lieux des obstacles administratifs, freins psychologiques, difficultés sociales et territoriaux, des moyens / ressources et opportunités existantes aux offres de soins transfrontaliers au regard des différents parcours de soins y compris palliatifs par la mise au point d’une analyse des situations et tendances, depuis l’analyse de la situation (réalités réglementaires et sociales, glossaire des soins en fin de vie, offre de soin, accessibilité) jusqu’à l’identification de gisements de progressions dans l’offre et la qualité des parcours de soin (niveau de compétence, expérience partagée, etc.)
*une identification et compréhension des attentes et demandes des acteurs face aux polypathologies chroniques : analyse des besoins émergents, tensions entre types d’acteurs, difficultés d’accès aux soins, risques de saturation de ces accès.
*un recensement des moyens et ressources potentielles face à ces enjeux : formation, coordination, et synergies des acteurs impliqués (patients, aidants, professionnels, hôpital, mutuelles, associations de patients et regroupements de professionnels, autres institutions) peuvent soulager les tensions pour développer un système de santé résilient.
Ces éléments seront abordés dans un contexte d’inégalités sociales et de différentiations croissantes des types de patients et des aidants en termes de capacités économiques, logistiques et cognitives de suivi des trajectoires : inégalités territoriales et sociales des accès aux soins y compris palliatifs se doublent d’inégalités entre hommes et femmes, mais aussi de niveaux d’éducation, de langue et de ressources cognitives et socioéconomiques à examiner systématiquement.
L’Université du Luxembourg bénéficie d‘une forte expérience et de succès conséquents dans la soumission, le succès et la gestion de grands contrats de recherche européens (H2020, FEDER INTERREG, etc.) mais aussi de chaires ERC.
Partenaire ( extrait du projet REMOCOSAN)
L’ORS Grand Est fait de l’observation de la santé dans la région depuis 40 ans (fusion des ORS des exrégions en 2017). Sa mission, comme les autres ORS (fédérés au sein de la fédération nationale FNORS) est d’accompagner la décision en santé publique en produisant des travaux ad hoc (tableau de bord, portrait de territoire, diagnostic, …) mettant en oeuvre des méthodologies quantitatives et qualitatives et visant à améliorer la connaissance de l’état de santé des populations, de leurs besoins et des déterminants de santé. Il participe ainsi à l’aide à la décision, l’action et l’évaluation en santé publique en visant également la réduction des inégalités sociales et territoriales de santé.
L’ORS Grand Est dispose d’accès spécifiques aux données de santé françaises (via le SNDS) et peut ainsi produire des indicateurs épidémiologiques descriptifs (taux de mortalité, de consommation de soins, d’hospitalisation, …) à la taille des communes et pour des territoires agrégés. Il peut aussi mettre en oeuvre des dispositifs de collecte de données (enquête, questionnaire, entretiens) et analyse les résultats au regard de données sociodémographiques et environnementales diverses.
L’ORS Grand Est s’investit depuis de nombreuses années dans l’observation transfrontalière et a déjà participé à plusieurs projets Interreg (ex dans la programmation V : Projet COSAN en GR, projets PSICOCAP et COPROSEPAT en FrWVl). Il était responsable du module du projet COSAN visant à poser les bases pour l’édification d’un observatoire transfrontalier de la santé de la Grande Région . Au cours de ces projets, des tableaux de bords socio-sanitaires et des portraits de territoires ont été rédigés en collaboration avec les organismes de production de données et d’observation de la santé des pays frontaliers.
Cela lui a permis d’acquérir de solides connaissances et compétences quant à ces acteurs, aux données disponibles, aux limites de comparabilité et précautions d’interprétation.
La connaissance de la situation socio sanitaire, ainsi que de l’offre de soins disponibles dans les territoires est un préalable permettant de justifier et d’orienter les accords de coopération sanitaires transfrontaliers. En collaboration avec les partenaires du projet, l’ORS Grand Est participera à dresser l’état des lieux de cette situation en fournissant des données et en apportant des clés de lecture permettant leur interprétation sur les territoires d’intérêt.
L’ORS Grand Est participera également à identifier l’offre de soins palliatifs dans la Grande Région, là aussi, en collaboration avec les autres partenaires impliqués dans le projet. Des recherches méthodologiques seront faites pour identifier les indicateurs permettant d’estimer les besoins des territoires en soins palliatifs notamment. L’ORS interviendra ainsi en support des partenaires investis dans les autres modules pour leur apporter des éléments de connaissances utiles à leurs travaux.
L’ORS Grand Est s’investit depuis de nombreuses années dans l’observation transfrontalière et a déjà participé à plusieurs projets Interreg (ex dans la programmation V : Projet COSAN en GR, projets PSICOCAP et COPROSEPAT en FWV).
Dans le cadre du projet COSAN (Grande Région), il était responsable du module visant à poser les bases pour l’édification d’un observatoire transfrontalier de la santé de la Grande Région. Cela lui a permis d’acquérir de solides connaissances et compétences quant aux acteurs de l’observation et de la production de données de santé dans les divers pays frontaliers, aux données disponibles, aux limites de comparabilité et précautions d’interprétation.
Dans le cadre du projet COPROSEPAT (FWV), l’ORS GE a recueilli et exploité des données sociodémographiques, de santé et d’offre de soins pour établir un tableau de bord et un portrait du territoire. L’ORS Grand Est a également réalisé le recensement des structures impliquées dans le domaine de l’éducation thérapeutique et réalisé une analyse des pratiques d’ETP en France et Belgique et identifié des freins et leviers.
Dans le cadre de Gedidot (FWV), l’ORS Grand Est a participé à la réflexion sur le choix d’indicateurs sociodémographiques, de santé et d’offre de soins et à leur comparabilité. Il a également recueilli et exploité une partie des données actuellement en ligne sur l’Infocentre.
Il a piloté le module d’observatoire des données dans le projet PSICOCAP (FWV) et a ainsi recueilli et exploité les données d’épidémiologie du handicap psychique, de ses déterminants et de l’offre de soins associées sur le versant français et en les comparant aux indicateurs belges. Cela lui a permis de compléter ses connaissances et compétences dans le domaine de la santé mentale, y compris sur les acteurs existants et les pratiques d’accompagnement de chaque côté de la frontière.
Partenaire ( extrait du projet REMOCOSAN)
La LUSS est reconnue représentant officiel des patients en Belgique francophone et effectue du lobbying responsable auprès des autorités dans le cadre de plusieurs mandats. Elle fédère près de 90 associations de patients et de proches qui elles-mêmes comptent de nombreux membres.
Grâce à ses antennes à Liège et à Bruxelles, la LUSS développe une approche de proximité, ce qui a permis de développer des dynamiques locales entre associations de patients et acteurs locaux. Ces rencontres permettent de promouvoir l’empowerment et l’expertise de vécu du patient auprès de ces acteurs en collaboration avec les patients eux-mêmes, ce qui contribue, in fine, à l’amélioration de la qualité des soins.
Les associations de patients mettent également leur expertise à disposition des institutions via des comités d’éthique, comités de patients, groupe de travail, conseil… La LUSS les accompagne dans ce travail via des formations, de l’accompagnement, et des rencontres inter-associatives qui leurs permettent de développer une vision collective.
La LUSS est également active dans la formation des professionnels par les patients depuis plusieurs années. L’intégration de patients formateurs dans la formation des (futurs) professionnels permet d’aborder avec eux des thématiques telles que « vivre avec une maladie chronique », « l’empowerment du patient », « la relation soignant-soigné », entre autres, et offre aux participants l’opportunité d’aborder ces thématiques à partir de l’expertise du vécu du patients.
Que ce soit localement ou auprès d’instances plus globales, la LUSS a obtenu au fil du temps la reconnaissance de ses partenaires et pourra la mettre au profit du projet. Nos collaborations avec ces partenaires variés (instances politiques, hôpitaux, première ligne de soins, secteur du handicap, de l’aide sociale, universités et hautes écoles…) nous permettent d’avoir une vision holistique des interlocuteurs que rencontrent les patients tout au long de leur parcours.
L’objectif de la LUSS est d’améliorer la qualité des soins par l’expertise du patient. Parmi les rôles que pourra tenir la LUSS :
– Intégrer les associations de patients, vecteur d’empowerment et d’éducation thérapeutique du patient, dans les modules du projet, et mettre en place les conditions à une bonne collaboration. Mais aussi, intégrer des patients dans la dynamique du projet.
– Partager son expertise sur la formation des professionnels par les patients, et accompagner tant les formateurs qui souhaitent mettre en place cette dynamique au sein de leur formation que les patients qui souhaitent participer à la formation des (futurs) professionnels, ainsi que les institutions qui souhaitent repenser leur cursus. La formation des professionnels par les patients peut être un levier pour renforcer l’empowerment du patient dans l’espace de la Grande Région.
– Faire évoluer la reconnaissance de l’expertise du patient auprès des institutions, et les accompagner dans la mise en place de mécanismes permettant de mettre à profit cette expertise dans les meilleures conditions ; mais également auprès des autorités politiques afin qu’ils intègrent cette reconnaissance dans le développement des politiques de santé.
– Accompagner le travail de formulation de recommandations pour la reconnaissance et le renforcement de l’empowerment.
Partenaire ( extrait du projet REMOCOSAN)
Hôpital général de proximité, expérience de ZOAST avec la maternité
Participation aux travaux d’organisation (administrative et médicale) et de mise en place d’une ZOAST au delà des soins liés à la maternité et de réflexion en termes de soins palliatifs hospitaliers notamment avec la participation du Dr Wolter et en collaboration avec les acteurs concernés de la Communauté germanophone en ce domaine.
L’hôpital de St Vith a initié des projets Interreg et a participé à différents projets Interreg afin de développer une coopération sanitaire transfrontalière entre les deux versants de l’Eifel (communauté germanophone de Belgique et Rhénanie Palatinat). Avec l’hôpital de Prüm, ils ont développé une coopération en matière d’imagerie médicale et favorisé dans le cadre du projet Santransfor une coopération en matière de maternité. Dans le cadre du projet COSAN, cette collaboration s’est formalisée dans la convention ZOAST Eifel. Désormais, les parturientes du versant frontalier allemand peuvent accoucher sans obstacle administratif ni financier à St Vith suite à la fermeture du service de maternité à Prüm.
Partenaire ( extrait du projet REMOCOSAN)
L’HELMo développe des actions de recherche appliquée et de formation continue en lien avec les 5 départements de formation initiale : informatique & technique, paramédical, social, économique & juridique, et pédagogique. Dans le cadre de ce projet, le département paramédical de HELMo qui organise notamment la formation initiale des Infirmiers responsables de soins généraux, sera particulièrement impliqué.
HELMo a une expérience dans la rédaction et la mise en œuvre de projets de recherche appliquée financés par différents fonds au niveau national et européen. Par exemple, le projet Funforlab, subsidié par Interreg EMR, dont nous sommes leadpartner porte sur l’amélioration de la promotion du métier de Technologue de Laboratoire Médical, l’amélioration de la qualité de leur formation et de la mobilité transfrontalière par le développement et le partage d’outils de réalité virtuelle dans la région EMR. Sur la thématique de l’éducation thérapeutique du patient et du partenariat de soins, plusieurs projets de recherche ont été menés ou sont en cours. Notamment, le projet ‘Interdisciplinarité’ financé par la Fédération Wallonie Bruxelles visait au développement d’une approche interdisciplinaire des soins de santé dans les formations initiales des infirmiers et des médecins afin d’améliorer la qualité des soins et l’accompagnement global du patient. Un autre projet de recherche toujours en cours vise à proposer des recommandations sur l’implication des patients dans la formation des infirmiers. Le Centre organise également des formations continues, à destination de professionnels issus de différents secteurs, en particulier le secteur médical. Nous collaborons notamment avec l’Université de Liège dans le cadre du Certificat de Pratique d’éducation thérapeutique du patient.
HELMo, avec son département paramédical souhaite s’impliquer dans 2 axes du projet visant au renforcement de l’empowerment du patient/citoyen/usager, ainsi que de la première ligne de soins.
Dans le deuxième axe (‘Empowerment du patient’), notre rôle se situera essentiellement au niveau des travaux de type ‘recherche-action’ en ce qui concerne le développement de l’empowerment du patient.
Nous étudierons l’implication de patients dans la formation des infirmiers, ses effets au niveau de la posture partenariale des infirmiers, et comment les apprentissages académiques réalisés en formation initiale se transforment en compétences mobilisées sur le terrain. Ces données contribueront à comprendre quelles compétences seront à réactiver auprès des professionnels de terrain et à développer des modules de formation continue pertinents .
Dans le cadre du troisième axe (‘ soins palliatifs’), nous apporterons notre expertise de travail avec les patients partenaires en participant à des échanges de pratiques concernant leur place dans la formation du personnel soignant.
Depuis plus de 15 ans, la Haute Ecole Libre Mosane (HELMo) développe des actions de recherche appliquée et de formation continue en lien avec ses 5 départements de formation initiale: informatique & technique, paramédical, social, économique & juridique, et pédagogique. Dans le cadre de ce projet, le département paramédical qui organise notamment la formation initiale des Infirmiers responsables de soins généraux, sera particulièrement impliqué. HELMo a une expérience dans la rédaction et la mise en oeuvre de projets de recherche appliquée financés par divers fonds européens comme Interreg et Erasmus +.
Dans le domaine de la santé, plusieurs de ces projets ont portés sur la simulation en santé pour développer un partenariat entre apprenants et professionnels dans la formation médicale et paramédicale (SimuCarePro, ERASMUS +, 2015-2018 ; SimuCarePro CRM, ERASMUS +, 2018-2020 ; SimuCareImmersion, ERASMUS +, 2022-2025). Récemment, le projet Funforlab (2021-2023), subsidié par Interreg Meuse-Rhin, pour lequel nous étions leadpartner a porté sur l’amélioration de la promotion du métier de Technologue de Laboratoire Médical, l’amélioration de la qualité de leur formation et de la mobilité transfrontalière par le développement et le partage d’outils de réalité virtuelle dans la région Euregio-Meuse-Rhin. Enfin, dans le domaine ingénieur, nous avons participé à 3 projets Interreg EMR, deux sur l’Optimisation de modules de cellules solaires sur couche mince flexibles et faciles à intégrer dans des infrastructures publiques (Rolling Solar, Interreg EMR, 2018-22 ; Solar EMR, Interreg EMR, 2022-2023) et un projet sur les jumeaux numériques (Digital Twin Academy, Interreg EMR, 2021-2023).
Partenaire ( extrait du projet REMOCOSAN)
Les compétences à disposition de l’Espace Ressources en ETP Grand Est sont les :
• Appuis méthodologiques aux acteurs en ETP
• Formations dispensation en ETP et coordination
• Animations de groupes
• Créations et animations d’évènementiel (soirée d’animation ou journée) allant d’un groupe à taille humaine a la taille congrès ou journée
• Elaboration de référentiels et d’articles
• Communication autour de l’ETP et des actions en ETP
• Diagnostic de territoire et proposition d’articulation et de solutions
• Travail en étroite collaboration avec les instances et associations d’usagers
Fort d’une expertise en ETP et d’une connaissance des fonctions et organisations en France et plus particulièrement en Grand Est ; le partenaire contribuera au module 2 sur l’ETP à travers une participation active et à la coordination des comités de pratique, en particulier sur les aspects de formation.
Partenaire ( extrait du projet REMOCOSAN)
Le CESP est un centre d’expertise et de référence en santé publique dans la Région Grand Est. Son objectif est de faire progresser les connaissances et les compétences, de proposer des stratégies innovantes dans la compréhension et l’évaluation des interventions complexes en promotion de la santé. Les membres du CESP travaillent de concert avec le laboratoire de recherche universitaire en santé publique APEMAC (Université de Lorraine) afin de développer, d’actualiser et de mettre en commun les connaissances et les compétences en santé publique.
Le CESP émerge d’une volonté de production, de partage et d’application des connaissances sur les interventions complexes en promotion de la santé.
Le CESP accompagne les professionnels, les chercheurs et les décideurs engagés dans l’élaboration, le développement et l’évaluation des actions et programmes en promotion de la santé. Sa mission est, grâce au déploiement d’une méthodologie adaptée à chaque projet, d’aider à la production de données probantes ainsi qu’à la valorisation et au transfert d’interventions.
Les missions du CESP :
* Accompagnement personnalisé au développement et à l’évaluation des interventions en promotion de la santé
* Soutien à l’innovation dans le secteur de la santé publique
* Aide à la valorisation des interventions en promotion de la santé par le reporting
* Accompagnement au transfert des interventions en promotion de la santé
* Soutien aux études prospectives
* Eclairage quant à la décision interventionnelle.
Module de travail « MT » 1 : Développer l’offre transfrontalière de soins
Identification et caractérisation des actions du maintien à domicile : Il s’agira d’établir un état des lieux transfrontalier des soins et services à domicile devant permettre aux acteurs de disposer d’outils en vue d’orienter et d’appuyer leur collaboration.
Les objectifs seront d’identifier et de recenser les actions du maintien à domicile, de standardiser leur caractérisation, de décrire de manière systématique les interventions, leur contexte et les populations cibles. L’identification des composantes essentielles des actions permettra d’envisager leur capitalisation, leur partage et le transfert des interventions efficaces.
Module de travail « MT » 2 : Développement de l’empowerment du patient
Evaluation des processus et mécanismes des expérimentations (initiatives, projets pilotes, formations) : L’évaluation des mécanismes et processus est une étude descriptive de l’intervention dont les objectifs sont de comprendre les mécanismes de l’intervention, expliquer les possibles différences d’implantation et d’effets et analyser les facteurs favorisants et les contraintes de mise en œuvre. Une étude de transférabilité des expérimentations jugées prometteuses pourra être envisagée.
L’UL s’investit dans des collaborations et échanges européens et internationaux. Elle s’inscrit dans un grand nombre de projets et d’initiatives pluri partenariaux dépassant, dans de nombreux cas, les frontières européennes. L’UL est engagée de manière constante, en qualité de partenaire ou coordinateur, dans des projets européens couvrant une grande partie des programmes de financement comme par exemple H2020/ Horizon Europe, Erasmus +, LIFE, Interreg A, B et C…
Cette dynamique dans les projets de financement européens est soutenue par une Délégation dédiée, en charge de l’accompagnement des projets sur la totalité de leur cycle de vie.
Partenaire ( extrait du projet REMOCOSAN)
Le groupe Vivalia est une intercommunale de soins de santé dont trois hôpitaux généraux répartis sur l’ensemble du territoire provincial Luxembourgeois. Elle assure les soins aigus à la population et participe activement au développement sanitaire franco-belge dans l’espace frontalier.
Des Zoast ont été établies sur la frontière belgo-française et sont en interaction fortes avec les départements du nord de la Lorraine, ( 54 et 55) avec le Sud de la Province (GR) et entre le département des Ardennes et le centre nord de notre province (FWV).
Le Groupe Vivalia est fortement impliqué dans ces coopérations transfrontalières depuis 2008 ainsi que dans la prise en charge de l’aide médicale urgente transfrontalière.
Vivalia s’est investi depuis les premiers Interreg et a mené à bien les projets qui, au fil du temps, sont devenus incontournables dans la pratique au quotidien d’une médecine qui a aboli les frontières à bien des égards.
REMOCOSAN poursuivra les travaux entrepris : approfondissement des axes de structuration d’une politique de santé transfrontalière initiés dès le premier programme Interreg en y intégrant le contexte de la covid-19. Les actions porteront sur la gestion transfrontalière d’une crise sanitaire, l’élargissement de l’accès aux soins transfrontaliers, la facilitation de la mobilité des professionnels de santé, la prévention et l’éducation thérapeutique et la coopération transfrontalière des services de soins à domicile.
Nous porterons une réflexion pour le développement des soins à domicile dans une logique de soins intégrés notamment pour les polypathologies chroniques, l’éducation thérapeutique du patient (ETP). C’est dans le prolongement de cette démarche d’accompagnement des patients et de leurs proches que sera développé un module sur la fin de vie. Il s’agirait des premières coopérations transfrontalières dans le domaine des Soins Palliatifs.
Deux unités de soins palliatifs (USP) et quatre équipes mobiles de soins palliatifs sont réparties sur les sites de Vivalia qui a donc la capacité de mobiliser toutes ses compétences pour les partager avec les autres acteurs de la santé transfrontalière en ce qui concerne la fin de la vie.
Les soins palliatifs bien compris ouvrent par leur approche holistique, sur la redécouverte d’une médecine qui intègre les soins globaux. Ce type de soins touche fondamentalement au patient et à sa famille mais aussi aux qualités humaines et au bien-être des équipes soignantes.
Par ces spécificités, les soins palliatifs questionnent la société et élargissent leur exercice à la notion de « soins continus » qui permet l’intégration de l’action soignante dans la malade grave dans le contexte plus global de l’humanité et du « prendre soin ». Les soins palliatifs sont un mais leurs déclinaisons sont multiples selon les lieux (Domicile, plateaux hospitaliers, Unité de Soin Palliatif) mais aussi selon les pays et les territoires. Il s’agira dans un premier temps pour Vivalia d’organiser un état des lieux des législations en vigueur et des pratiques de part et d’autres des frontières.
Ces partages d’ expériences spécifiques à chaque région enrichira les pratiques à travers les frontières.
Dans le respect des fonctionnements et des particularités territoriales et nationales, s’est édifié une entité transfrontalière qui grandit de l’expérience partagée et de la mutualisation des moyens.
Cette richesse des échanges a aussi modifié les attitudes de nos populations qui intègrent maintenant le fait transfrontalier.
Cette richesse des échanges permettra de poursuivre une démarche de facilitation d’un accès aux soins par-delà les frontières.
Vivalia s’est investi dans des projets de coopération transfrontalière en santé dès les premières programmation Interreg et a mené à bien les projets qui, au fil du temps, sont devenus incontournables dans la pratique au quotidien d’une médecine qui a aboli les frontières à bien des égards.
Au cours de la dernière programmation Interreg, Vivalia a participé au projet COSAN (Interreg V GR) et COPROSEPAT (Interreg V FWV).
Dans le respect des fonctionnements et des particularités territoriales et nationales, s’est édifié une entité transfrontalière qui grandit de l’expérience partagée et de la mutualisation des moyens.
Cette richesse des échanges a aussi modifié les attitudes de nos populations qui intègrent maintenant le fait transfrontalier.
Cette richesse des échanges permettra de poursuivre une démarche de facilitation d’un accès aux soins par-delà les frontières.
Partenaire ( extrait du projet REMOCOSAN)
CRCC est un hôpital frontalier luxembourgeois qui de par sa proximité avec la Belgique et la France est sollicité pour accueillir des patients de ces 2 versants frontaliers. En particulier parce que le GDL accueille de nombreux travailleurs frontaliers résidant sur le territoire de la grande région.
Colpach a participé au projet COSAN du programme Interreg V grande région durant lequel, un accord-cadre entre la Belgique et le Luxembourg a pu être signé, ce qui permet de développer des coopérations transfrontalières entre les structures des soins de ces deux pays. Mais également ceux du versant français étant donné que le GDL a signé en 2016 un accord cadre similaire avec la France. C’est dans cet ordre de perspectives que le CRCC s’est engagé avec les hôpitaux frontaliers voisins que sont Arlon et Mont-Saint-Martin à collaborer à l’élaboration d’un projet de mobilité des patients et de mutualisation de l’offre de soins sous la forme ZOAST. Dans le courant de l’année 2023, ce type de dispositif devrait pouvoir être mis en œuvre et permettra une coopération intensive entre 4 hôpitaux. Par ailleurs, ce dispositif devrait pourvoir être élargi dans cette espace de la grande-région.
Participer à la conception, à l’élaboration, à la mise en œuvre des différents modules du projet REMOCOSAN et plus spécifiquement relatif à la place du patient dans le système de santé, le développement de soins transfrontaliers, le développement de l’éducation thérapeutique et la coopération de soins palliatifs. Etant donné les caractéristiques de la patientèle de l’établissement à savoir qui est composée pour ¾ de patients avec des maladies chroniques et ¼ de patients en réhabilitation oncologique, nous nous centrerons dans un premier temps sur l’accès au soins des patients des différents versants tel que demandé par la population concernée. Ensuite, nous continuerons à développer l’éducation thérapeutique dont la place du patient partenaire qui est au centre de notre projet d’établissement 2023-2027. La présence de patients cancéreux, nécessite un approfondissement des réflexions autour de la fin de vie qui est également une thématique qui dépasse les frontières. Une cohérence des approches dans la grande-région ayant un bassin de population unique doit permettre une plus-value de l’approche en santé.
Le CRCC situé à Colpach a participé au projet COSAN du programme Interreg V Grande Région durant lequel, un accord cadre de coopération sanitaire transfrontalière a été négocié entre la Belgique et le Luxembourg. Ce traité sanitaire entre les deux pays a pu être signé le 20/03/23.
Partenaire ( extrait du projet REMOCOSAN)
LE GEIE OEST a été constitué pour poursuivre les missions du GEIE Luxlorsan et les développer à l’échelle européenne. Il regroupe les acteurs fondateurs de la coopération sanitaire et médico-sociale dans la « Grande Region » et l’espace frontalier franco-belge.
Le GEIE OEST a développé des initiatives pour renforcer et approfondir les coopérations sanitaires et médico-sociales mises en œuvre notamment à travers des projets Intereg, des travaux d’études, l’organisation d’évènements et de rencontres transfrontalières dans le domaine de la santé.
Il a apporté sa contribution à la construction de la vision de la coopération sanitaire transfrontalière au sein de l’UE en participant à des conférences et des séminaires de la DG Regio et de la DG Sanco et en organisant notamment la visite du Commissaire à la Santé le 7/4/2017 à Arlon.
Le GEIE a été le chef de file du projet COSAN (Interreg V GR) qui a permis l’élaboration d’un accord-cadre de coopération sanitaire entre la Belgique et le Grand-Duché de Luxembourg, la création de la ZOAST Eifel, etc. Ce projet a préparé activement l’extension de la ZOAST LUXLOR au versant luxembourgeois. Il a en outre jeté les bases d’un observatoire de la santé transfrontalier et étudier les formes de coopération en matière d’aide médicale urgente dans tous les espaces frontaliers de la GR.
Le GEIE a aussi été le chef de file du projet COPROSEPAT (Interreg V FWV) qui a développé des travaux d’études et des actions de coopération en matière de prévention et d’éducation thérapeutique du patient pour les patients vivant dans les espaces frontaliers ruraux atteints de maladies chroniques (insuffisance cardiaque notamment) et a poursuivi l’initiative de développer des consultations de médecine spécialisée au sein du Pôle médical de Givet au sein d’un territoire étiqueté « désert médical »
Le GEIE OEST fort de son expérience dans le domaine de la coopération transfrontalière en santé, pilotera le module « offre de soins » du projet REMOCOSAN afin de créer des accords-cadres dans les espaces frontaliers de la Grande Région qui en sont dépourvus et réaliser l’objectif de doter la Grande Région d’une base légale pour développer la coopération sanitaire dans tous les espaces frontaliers de la Grande Région. De plus, il a pour objectif de déployer des ZOAST pour améliorer l’accès aux soins sans obstacle administratif ni financier dans les espaces frontaliers où ce type de dispositif permet de répondre aux problèmes liés à une démographie médicale insuffisante et à la carence de l’offre de soins. En outre, il poursuivra le développement de coopération dans le cadre de l’aide médicale urgente dans les espaces frontaliers de la GR à l’instar du dispositif existant entre le sud de la province du Luxembourg et le Nord de la Meurthe et Moselle. Enfin, il participera à la réalisation d’un état des lieux dans le domaine des soins palliatifs.
And last but not least, compte tenu de sa longue et large expérience en coordination de projets Interreg, il épaulera le coordinateur du projet.
Les membres du GEIE OEST dispose d’une longue expérience en matière de coopération sanitaire transfrontalière depuis trois décennies. Regroupés au sein du GEIE depuis 2016, ils mettent leurs compétences et leurs expériences au service du développement de projets de coopération transfrontalière en santé.
Durant la durée de programmation du programme Interreg V Grande Région, le GEIE OEST a été chef de file du projet Grande Région COSAN qui a permis de planter les jalons d’un Observatoire de la Santé Interregional et Grande Région, créer l’accord cadre de coopération sanitaire transfrontalier entre la Belgique et le Grand Duché de Luxembourg (signé le 29 mars 2023), créer la ZOAST Eifel (St Vith-Prüm), étudier l’opportunité d’étendre la ZOAST LORLUX sur le versant frontalier luxembourgeois, gérer les dispositifs de coopération sanitaire transfrontalier entre le nord de la Meurthe et Moselle, de la Meuse et de la Province du Luxembourg tant en matière sanitaire que d’aide médicale urgente, assurer la présidence du groupe de travail santé du CESGR depuis 2016,…
Dans le cadre du programme Interreg V FWVl, le GEIE OEST a coordonné, piloté et géré le projet de coopération sanitaire transfrontalier franco-belge dans l’espace frontalier rural afin de développer les coopérations existantes, améliorer l’offre de soins transfrontalières, développer des pratiques d’éducation thérapeutique du patient dans le domaine des maladies cardiovasculaires et plus spécifiquement de l’insuffisance cardiaque.
Le GEIE OEST est à l’initiative de l’organisation et de la gestion d’évènements de rencontres et d’échanges dans le domaine de la coopération sanitaire transfrontalière et notamment du séminaire qui s’est déroulé à Metz au sein de la Maison de la Grande Région le 28 avril 2022.
Partenaire ( extrait du projet REMOCOSAN)
COTRANS regroupe les membres qui ont initié et développé les projets Interreg de coopération sanitaire transfrontalière dans l’espace frontalier « Wallonie-Lorraine-Luxembourg » et ensuite « Grande Région » ainsi que dans les programmes « France Wallonie-Vlaanderen » depuis le lancement des projets transfrontaliers de coopération en santé .
COTRANS met l’expertise de ses membres au service de l’approfondissement et de la pérennisation de la coopération transfrontalière dans l’UE et tout spécialement dans la Grande Région et l’espace franco-belge avec comme priorité les zones les plus démunies en dispositifs et offres de soins.
COTRANS a été chef de file du micro-projet Interreg V FWV MOSAN qui avait pour objectif d’apporter une réponse structurelle aux graves problèmes de pénurie de médecins spécialistes dans la Pointe Nord des Ardennes (Grand Est). Ce projet innovant a permis d’ouvrir des consultations de médecine spécialisée au sein du Pôle médicale de la Pointe à Givet, aujourd’hui, MSP, créé par la Ville de Givet.
COTRANS participe activement à la coordination de la ZOAST Luxlor et a été confirmé dans cette fonction par toutes les composantes du Comité de suivi de la Zoast le 12/12/18.
COTRANS est intervenu dans de nombreux évènements européens organisés par la DG Régio et la DG Santé pour promouvoir la coopération transfrontalière en santé dans l’UE sur base de son expérience et de sa vision de la coopération sanitaire transfrontalière à travers les projets qu’elle développé et géré.
Par ailleurs, le Président de COTRANS préside la Commission santé du CESGR depuis 2016.
COTRANS est une association de droit privé d’intérêt général non-profit qui travaille en partenariat avec les mutualités, les CPAM, les hôpitaux qui comme elles sont des organismes de droit privé d’intérêt général (en tout cas les hôpitaux belges) et qui sont tous membres des ZOAST.
L’association, forte de son expérience dans le domaine de la coopération transfrontalière en santé, mettra à disposition ses compétences dans les activités en lien avec les actions, dans des domaines tels que la gestion administrative, financière, informatique, la communication et l’information. Elle s’
investira dans les modules portant sur la coopération transfrontalière principalement dans le domaine de l’offre de soins hospitalière frontalière, celui de l’éducation thérapeutique du patient et des soins palliatifs.
L’Asbl Cotrans se compose de membres qui ont initié, développé et géré les dispositifs de la coopération sanitaire qui a été mise en œuvre dans l’espace frontalier franco-belge ainsi que dans la Grande Région.
L’asbl dispose donc d’une large expérience et d’un savoir-faire étendu pour initier des développements innovants dans le domaine de la coopération sanitaire et médico-social.
Dans le cadre du programme Interreg V FWV, Cotrans a été opérateur dans le projet COPROSEPAT (FWVl) et COSAN (GR). L’association a, dans ce cadre, coordonné le micro-projet MOSAN (FWVl). Elle a participé comme opérateur partenaire à la réalisation des modules du projet COPROSEPAT (FWV) et des actions du projet COSAN (GR). De ce fait, COTRANS dispose d’un vaste champ de connaissances dans les domaines relatifs à la gestion des flux transfrontaliers de patients, à la mobilité des professionnels de santé, au déploiement d’activités de prévention et d’éducation thérapeutique du patient ainsi qu’à la gestion administrative et financière des projets Interreg.
Partenaire ( extrait du projet REMOCOSAN)
La Province de Luxembourg vise être un partenaire dynamique des coopérations transfrontalières.
Cette dernière a été opérateur actif dans plusieurs projets Interreg, avec la réalisation du projet COPROSEPAT dans Interreg V, permettant la mise en place d’un parcours éducatif pour les patients insuffisants cardiaques, et de SENIOR ACTIV, projet visant à trouver des solutions pour le maintien à domicile des aînés. La Province dispose d’une Cellule d’accompagnement des professionnels de la santé (Caps) qui a pour axe de travail prioritaire l’accessibilité aux soins. Il s’agit de garantir aux citoyens une prise en charge des soins de santé accessible, humaine et adaptée aux spécialités du territoire en utilisant et développant les nouvelles technologies. La Cellule a également comme axe de travail la lutte contre la pénurie de médecins généralistes, d’infirmières et de dentistes, ainsi que leur rétention. Dernièrement, la cellule a lancé un appel à projets « télémédecine en maison de repos » visant à permettre aux résidents des maisons de repos et des résidences services de bénéficier du meilleur soin au meilleur moment au meilleur endroit et pour permettre aux soignants de disposer des informations et des technologies de l’information les plus efficaces afin d’exercer leur métier dans les conditions optimales. Elle a également lancé un projet pilote de téléconsultation en milieu carcéral, des lunettes connectées pour ausculter le prisonnier à distance, dont le résultat est positif et qui est actuellement en phase d’opérationnalisation.
L’équipe de la Caps possède une expertise en gestion de projets. Nos chargés de projets ont des formations de bases diversifiées et expériences solides en santé publique, ingénierie sociale, psychologie du travail, et communication, ce qui en fait une équipe multidisciplinaire de qualité.
La Province de Luxembourg, de par sa position géographique stratégique, a une capacité d’intervention sur plusieurs versants frontaliers et voit toute la richesse de la coopération transfrontalière, qu’elle a déjà expérimentée.
Face aux défis de la désertification médicale dans les zones rurales, la Province souhaite jouer un rôle actif dans l’amélioration de l’offre de soins pour lutter contre la pénurie de professionnels de la santé et améliorer l’accessibilité aux soins pour tous.
Pour surmonter la pénurie de soignants et les obstacles liés à la distance et à la mobilité, la Province envisage de mettre en place un service mobile dans le cadre du MT sur la coopération sanitaire transfrontalière et plus précisément entre les territoires du nord des départements 54 et 55 et celui de la Province. Ce service, doté de compétences psycho-médicosociales, se déplacerait sur les deux versants grâce à un cabinet mobile. L’équipe de ce service jouerait un rôle crucial en servant d’intermédiaire entre les citoyens et les prestataires de soins de santé. Cette équipe irait à la rencontre des personnes dans leur bassin de vie, évaluant leurs besoins sociaux et de santé, fournissant des conseils de prévention, informant sur les droits des citoyens, facilitant les démarches liées au parcours de soins, et guidant les individus vers les structures de santé appropriées.
En résumé, la Province de Luxembourg souhaite apporter un soutien aux professionnels de la santé en mettant en place un service mobile innovant pour répondre aux défis de la désertification médicale, en assurant à tous un accès équitable aux soins de santé.
La Province de Luxembourg vise être un partenaire dynamique des coopérations transfrontalières.
Cette dernière a été opérateur actif dans plusieurs projets Interreg, notamment avec la réalisation du projet COPROSEPAT dans Interreg V, permettant la mise en place d’un parcours éducatif pour les patients insuffisants cardiaques, et de SENIOR ACTIV, projet visant à trouver des solutions pour le maintien à domicile des aînés.
Partenaire ( extrait du projet REMOCOSAN)
Le Centre Hospitalier Régional Metz-Thionville est un établissement de recours situé en Région Lorraine. Il couvre par ses activités le territoire de Lorraine Nord dont un de ses sites, l’hôpital Bel Air à Thionville, est frontalier du Luxembourg.
Composé de 8 établissements et doté de 2043 lits et places (MCO, hôpitaux de proximité et Ehpad), le Centre Hospitalier Régional Metz-Thionville a assuré en 2022 plus de 130 000 hospitalisations et 500 000 consultations. Son effectif est composé de 5900 professionnels.
L’Etablissement accueille chaque année des étudiants en médecine et en soins infirmiers provenant de l’Université de Lorraine et de l’Université du Luxembourg.
Le CHR Metz-Thionville est un partenaire de la coopération transfrontalière et de la coopération internationale. Depuis 2018, plusieurs coopérations ont vu le jour avec des établissements de santé, de recherche et de l’Assurance maladie de l’Union Européenne : Mise en place d’une équipe transfrontalière de protonthérapie avec l’Institut de cancérologie de Lorraine (ICL), le Centre National de Radiothérapie du GD de Luxembourg, le CHRU de Nancy, CHR Metz-Thionville, l’Universitätskinikum des Saarlandes avec le soutien financier du Programme Interreg V A « Grande Région » (convention de partenariat signée en 2021), Convention de partenariat entre l’assurance maladie de l’Union Européenne et le CHR Metz-Thionville pour la réalisation de programmes de détection pour les fonctionnaires et les ayants-droits (convention signée en 2022), Convention de partenariat entre le CHR Metz-Thionville et l’Università Cattolica del Sacro Cuore de Rome dans le cadre d’une démarche européenne de formation et d’échanges de praticiens médicaux et de promotion de la recherche (convention signée en 2023).
Le Centre Hospitalier Metz-Thionville prend en charge régulièrement des usagers frontaliers travaillant au Luxembourg sur le site de l’hôpital Bel Air à Thionville. Le projet REMOCAN s’inscrit pleinement dans la stratégie de l’établissement de renforcer la coopération sanitaire avec son voisin Luxembourgeois.
Le Centre Hospitalier Régional pourra apporter son expertise dans les thématiques suivantes :
– La prise en charge médicale d’urgence transfrontalière à travers le développement d’accords et de procédures de prise en charge des patients frontaliers entre les différents versants (GD de Luxembourg, Belgique, Allemagne) afin de réduire l’IML.
– Les soins palliatifs notamment avec l’implication du Dr Villard.
– Le développement de programmes d’éducation thérapeutique tel que défini dans le cadre du module de travail du projet à l’heure de la croissance des maladies chroniques.
Le CHR de Metz a participé au projet Interreg V GR COSAN en vue de développer une coopération sanitaire transfrontalière en matière d’aide médicale urgente.
Partenaire ( extrait du projet REMOCOSAN)
Le Ministère de la Santé et de la Sécurité sociale du Grand-Duché de Luxembourg dont la Direction de la santé était opérateur méthodologique dans le cadre du projet COSAN qui a permis de mettre sur pied l’accord-cadre de coopération sanitaire entre le Grand Duché et la Belgique signé le 29/03/2023, participera en tant qu’opérateur méthodologique au projet Interreg VI REMOCOSAN et suivra les travaux réalisés dans le cadre des trois modules de travail du projet.
Partenaire ( extrait du projet REMOCOSAN)
L’Institut Wallon de l’Evaluation, de la Prospective et de la Statistique (IWEPS) est une institution publique wallonne qui rassemble des équipes scientifiques interdisciplinaires. Ses missions sont la statistique, l’évaluation des politiques publiques et la
prospective. L’IWEPS dispose d’une longue expérience dans le travail collaboratif dans le cadre de projets wallons mais également transfrontaliers avec, par exemple, les travaux de la Grande Région et Interreg France Wallonie-Vlaanderen : GeDiDoT, TransStat, Compétence sans frontière et Psicocap.
En janvier 2016, conséquence de la sixième réforme de l’Etat, l’IWEPS devient comme ses homologues flamand et bruxellois, partie intégrante non seulement de l’Institut Interfédéral de Statistique (ancien INS) mais également de l’Institut des Comptes Nationaux. Dans le cadre de la mission statistique et de centralisation de données, l’IWEPS a développé un portail statistique permettant l’accès à des statistiques locales cartographiées. Les apports de l’IWEPS porteront essentiellement sur son expertise en matières des données statistiques ainsi que sur des aspects méthodologiques relatives à la production des indicateurs. Son accès facilité aux données constitue aussi un atout. Les indicateurs déjà disponibles sur son portail statistique pourront contribuer à une mise en contexte socio-économique de la zone du projet.
Partenaire ( extrait du projet REMOCOSAN)
La Cellule d’Animation Régionale Grand Est de Soins Palliatifs (CARGESP) participera au projet REMOCOSAN. Elle s’investira tout particulièrement dans le module de travail portant sur les soins palliatifs en tant que celle régionale pour le Grand Est et mettra à disposition son expérience et ses compétences en ce domaine afin de permettre aux opérateurs du projet de réaliser les objectifs de REMOCOSAN en cette matière.
Partenaire ( extrait du projet REMOCOSAN)
Le partenariat se situe dans le cadre du module 3 / analyse comparée des soins palliatifs en vue de développer des actions de formation et d’échanges de bonnes pratiques transfrontalières. Il peut s’agir de contribuer aux apports méthodologiques et scientifiques dans le projet, et de favoriser la synergie avec les actions de formation sur le Grand Est et à l’échelle nationale (France) ; soutien à la stratégie d’impact (communication ou dissémination de résultats)
Partenaire ( extrait du projet REMOCOSAN)
Informations de base LAG Hospiz Saarland e. V. Le Landesarbeitsgemeinschaft Hospiz Saarland e. V. est le regroupement d’organisations de soins palliatifs en Sarre (unités de soins palliatifs, équipes SAPV, ambulatoires services et associations de soins palliatifs, hospices stationnaires). Il a été fondé en 2000 et représente les intérêts de ses membres vis-à-vis des autorités sanitaires, coopère avec les organisations du secteur de la santé, s’occupe des échanges entre professionnels, de la mise en réseau, de la formation continue et du développement de la qualité. Nous avons des contacts transfrontaliers avec la France (département de la Moselle – Eurodistrict, Filieris) et avec le Grand-Duché de Luxembourg. Avec Omega 90, il y a plus de 10 ans le projet Interreg Académie interrégionale de formation continue en soins palliatifs (IWAP), qui a été mis en oeuvre en 2009. Le rôle dans le projet : Coopération transfrontalière notamment avec le département de la Moselle et le Grand-Duché de Luxembourg, Raccordement de la Sarre au réseau de soins palliatifs dans la Grande Région, Formations pour les patients et leurs proches, Echange continu sur le projet Best Practise, Transfert de connaissances sur la situation des soins de santé en Allemagne au sein de la Grande Région
Partenaire ( extrait du projet REMOCOSAN)
Rester informés du développement de l’offre transfrontalière afin de transmettre une information actualisée à nos affiliés. Participer aux réunions d’information sur l’avancement du projet pour contribuer à la réalisation de ses objectifs.
Partenaire ( extrait du projet REMOCOSAN)
Réception des informations relatives à l’évolution du projet. Participation libre aux réunions de travail afin d’apporter notre expertise et ainsi contribuer à la réalisation des objectifs du projet
Partenaire ( extrait du projet REMOCOSAN)
La MC est un acteur important dans le système de protection sociale belge ,plus particulièrement dans le champ de la santé en assurant un rôle dans l’organisation des soins. De par le territoire que nous couvrons, nous sommes impliqués de facto dans la dynamique de mobilité transfrontalière de nos membres. La MC peut plus particulièrement pour l’axe 1 du projet jouer un rôle de facilitateur pour relayer et contribuer à solutionner les problèmes d’accès aux soins ambulatoires et hospitaliers dans les zones frontières de la grande région. La MC est également en partenariat avec de nombreux acteurs du médicosocial qui avec elle contribue à améliorer la santé de ses membres dans une vision large de la santé tout au long de la vie. Elle agit également, entre autre en collaboration avec son centre d’éducation du patient, à accompagner ses membres pour qu’ils deviennent de réels acteurs de leur santé dans une approche solidaire. La richesse des échanges entre les organisations de santé des 4 pays et la multiplicité des actions qui seront mises en œuvre dans le projet REMOCOSAN enrichiront certainement les approches et permettront à la MC de contribuer et de bénéficier des expériences des partenaires de la grande région sur les 3 axes du projet.
Partenaire ( extrait du projet REMOCOSAN)
L’INAMI marque son intérêt et son soutien pour le dépôt du PROJET INTERREG VI GRANDE REGION « REMOCOSAN » en tant que opérateur méthodologique comme d’autres régulateurs publics d’autres pays se sont engagés à le faire dans le projet précédent ou dans ce nouveau projet.
Nous souhaitons donc faciliter le bon déroulement du projet notamment par des contacts et des accords (dans le cadre de nos compétences fédérales et en tant qu’INAMI), si besoin, avec nos homologues des autorités ou des opérateurs des autres pays/régions concernés ou de nos entités fédérées.
Partenaire ( extrait du projet REMOCOSAN)
Nous pouvons apporter des compétences par rapport à la formation en soins palliatifs. Nous formons tous les soignants du Luxembourg : Infirmières, aides-soignantes, médecins et psychothérapeutes dans les 3 niveaux prévus par l’EAPC (european association of palliative care) : Approche en soins palliatifs et en accompagnement de fin de vie 40 heures ; soins palliatifs généraux et accompagnement de fin de vie 200 heures ; soins palliatifs spécialisées et accompagnement de fin de vie 250 heures. Nous avons des compétences spécifiques par rapport à l’accompagnement du deuil des citoyens (adultes, adolescents et enfants) par des psychothérapeutes formés et expérimentés Nous avons des compétences dans la formation et l’accompagnement des bénévoles Nous gérons un centre de soins palliatifs avec 15 lits. Nous sommes un maillon dans la chaîne qui comprend la prise en charge à domicile, les hôpitaux, les unités de soins palliatifs et les maisons de soins. Nous coordonnons un réseau de maisons de soins et de services de soins à domicile autour de projets communs en soins palliatifs et sommes membre d’un réseau international de pays germanophones : FGPG : Fachgesellschaft palliative Geriatrie (Allemagne, Autriche, Suisse, Tyrol du Sud, Luxembourg)
Partenaire ( extrait du projet REMOCOSAN)
Le partenaire du projet est un établissement hospitalier agréé en Allemagne. Par son offre de prestations médicales liées à l’hospitalisation, il assure les soins de base de la population de la région.
Il dispose d’une longue expérience en gériatrie. Dans ce domaine, il a été agréé pour assurer les soins des patients allemands en vertu d’un avis d’intégration au plan des hôpitaux de la Rhénanie-Palatinat. A titre complémentaire, il est autorisé à assurer la formation continue des médecins en gériatrie. Ces compétences et expériences peuvent être qualifiées de très vastes.
Le partenaire du projet souhaite apporter ces vastes compétences et expériences dans le cadre de l’hospitalisation de patients belges (par un élargissement de la ZOAST). Il organisera toutes les réunions et prendra toutes les mesures nécessaires à la réalisation de l’objectif du projet (assurer les soins gériatriques de patients belges admis à l’hôpital de Prüm).
L’hôpital de Prüm en collaboration avec celui ce St Vith ont initié des projets Interreg et ont participé à différents projets Interreg afin de développer une coopération sanitaire transfrontalière entre les deux versants de l’Eifel (communauté germanophone de Belgique et Rhénanie Palatinat). Avec l’hôpital de St Vith, ils ont développé une coopération en matière d’imagerie médicale et favorisé dans le cadre du projet Santransfor une coopération en matière d’accouchement. Dans le cadre du projet COSAN, cette collaboration s’est formalisée dans la convention ZOAST Eifel. Désormais, les parturientes du versant frontalier allemand peuvent accoucher sans obstacle administratif ni financier à St Vith suite à la fermeture du service de maternité à l’hôpital de Prüm.
Partenaire ( extrait du projet REMOCOSAN)
Observatoire des urgences de la région Grand Est, expertise métier des médecins réanimateurs et urgentistes sur les projets régionaux et transfrontaliers depuis plusieurs années
Participation aux groupes de travail, échanges avec tous les acteurs impliqués dans la prise en charge des patients, expertise métier, proposition d’axes d’analyse des données de santé. Est Rescue a réalisé une analyse sur les opportunités de développer des coopérations en matière d’aide médicale urgente
pour réduire l’IML dans tous les espaces frontaliers de la Grande Région dans le cadre du projet COSAN.
L’objectif consiste maintenant à mettre en oeuvre dans le cadre du projet REMOCOSAN ces perspectives de coopération transfrontalière en matière d’aide médicale urgente dans la Grande Région. Des accords devront être rédigés et négociés entre tous les acteurs concernés des différents versants frontaliers pour réaliser ces opportunités au bénéfice des patients et des systèmes de santé.
Partenaire ( extrait du projet REMOCOSAN)
Le « Palliativpflegeverband Ostbelgien » est la plateforme de soins palliatifs de la Communauté Germanophone de Belgique. Nous sommes, e.a. de par notre situation (géographique), intéressés par un
état des lieux de la prise en charge des soins palliatifs en Grande Région, de l’échange d’informations entre les différents versants, de la réflexion qui peut être conduite sur les bonnes pratiques et les éventuelles coopération entre les acteurs concernés des différents versants ainsi que de manière générale sur la coopération sanitaire transfrontalière dans le domaine de la santé au sein de la Grande Région.
Partenaire ( extrait du projet REMOCOSAN)
La FHL, en tant que représentant des hôpitaux luxembourgeois, peut mettre à disposition ses ressources (compétences internes très diverses (économiques, juridiques, qualité etc..) et les compétences externes de ses membres), ses connaissances du système de santé luxembourgeois et ses contacts dans le domaine de la santé (membres, partenaires, administrations…) au Luxembourg et à l’étranger afin d’appuyer les démarches de collaboration au sein de la Grande Région. La FHL pourra également faciliter la communication des projets en cours entre les différents acteurs nationaux, hospitaliers ou autres.
En cas de déploiement d’un projet, la FHL pourra soutenir voire coordonner la mise en place des projets dans les hôpitaux.
Partenaire ( extrait du projet REMOCOSAN)
La Branche santé de l’AVIQ a la charge de l’agrément des hôpitaux situés sur le territoire de la Wallonie. Dans ce cadre, elle collabore avec les autres Entités fédérées pour la programmation et la répartition de l’offre de soins. Elle doit donc veiller à ce que l’accessibilité des soins soit équitable pour tous les citoyens wallons quel que soit leur lieu de résidence. Le projet REMOCOSAN de coopération transfrontalière prévoit de poursuivre les conventions ZOAST et sur l’aide médicale urgente, de réfléchir sur la mobilité des professionnels de santé mais aussi sur la place des patients dans les systèmes de santé. Dans le cadre de ce projet, l’AVIQ mettra à disposition son expertise technique, son soutien institutionnel et son expertise législative aux autres opérateurs partenaires wallons, belges, français, allemands : l’Université de Liège en partenariat avec l’Observatoire européen (GEIE) OEST, la Mutualité socialiste de la Province du Luxembourg, COTRANS, VIVALIA, la Province du Luxembourg, certains établissements hospitaliers français, luxembourgeois, la Communauté germanophone, la CPAM de la Moselle, le Ministère de la Santé de la Rhénanie Palatinat, les Universités de Lorraine, du Luxembourg, etc
Partenaire ( extrait du projet REMOCOSAN)
La Communauté Germanophone, en raison de sa situation géographique, est directement concernée et intéressée par le projet Remocosan et les projets de soins transfrontaliers Elle est impliquée au niveau des soins intégrés, met en place une “Gesundheitsberichterstattung” . Au vu des visions similaires entre RemoCosan et la Communauté Germanophone en matière de soins intégrés une collaboration ne saurait qu’être utile.
Partenaire ( extrait du projet REMOCOSAN)
Depuis 2009, équipe nationale de soins palliatifs intervenant dans le domaine des soins à domicile.
Tous les collaborateurs ont une qualification minimale de 200h dans le domaine des soins palliatifs et ils participeront activement aux travaux qui seront mis en oeuvre pour réaliser les objectifs du module de travail sur les soins palliatifs du projet REMOCOSAN.
Partenaire ( extrait du projet REMOCOSAN)
Le CFB est un établissement hospitalier spécialisé en oncologie-radiothérapie et , centre national de radiothérapie du Luxembourg. En tant que référent territorial prodiguant des soins aux patients frontaliers belges et français. Nous sommes Impliqués et moteur dans les projets INTERREG VA NHL-ChirEx et équipe transfrontalière de protonthérapie EP/PT. Le CFB dans le projet REMOCOSAN apportera son expertise notamment dans la construction de la place des patients experts et/ou de l’ETP dans les parcours de soins mais aussi une participation active, du fait de sa connaissance en particulier des pathologies oncologiques et de leurs traitements, aux avancées nécessaires sur l’état des lieux et des pratiques à visée d’harmonisation dans les sons palliatifs.
Comme énoncé précédemment la co-construction d’accord transfrontalier d’accès aux soins pour l’ensemble des populations des territoires concernés est un axe majeur de nos politiques de soins partagés
Partenaire ( extrait du projet REMOCOSAN)
Université publique ouverte sur le monde et ancrée dans le développement scientifique, culturel et économique de sa région, l’ULiège appuie sa stratégie sur ses trois piliers : l’enseignement, la recherche et l’engagement citoyen. Elle se veut un acteur pleinement engagé dans l’Espace Européen de la Recherche et de l’Enseignement, participant à des projets relevant des programmes cadres successifs (plus de 100 projets H2020) aussi bien que d’autres instruments (éducation, développement régional, environnement, justice, coopération au développement…).
Le Département des Sciences de la Santé publique, qui sera impliqué dans ce projet, réunit des compétences multidisciplinaires (santé publique, statistique, méthodologie de recherche, sociologie de la santé, sciences politiques) permettant d’aborder la complexité des enjeux de santé traités sous l’angle transfrontalier. Particulièrement pour ce projet, c’est l’Unité de Recherche responsable de la thématique de la Promotion de la Santé qui sera mobilisée, thématique pleinement ne phase avec l’orientation du projet. Cette Unité développe de l’expertise dans la formation, la recherche, l’appui méthodologique, les échanges de pratique, l’évaluation de politique publique, en particulier en matière d’approche préventive et d’éducation thérapeutique du patient.
Le Département a une expérience utile sur les programmations INTERREG puisqu’à été opérateur chef de file sur les 2 dernières programmations (projet EDUDORA²et APPS). Ces travaux ont abouti sur une analyse des besoins de la GR en matière d’approche préventive, ont initié les premiers échanges transfrontaliers sur la thématique et établi des recommandations pour le développement harmonisé des aspects de prévention à travers l’éducation thérapeutique.
L’ULiège sera l’opérateur chef de file du projet et remplira à ce titre toutes les missions telles que décrites dans les textes officiels.
L’ULiège sera responsable de la coordination et contribuera à l’exécution du module relatif à l’ETP (participation à toute la déclinaison d’actions).
L’ULiège suivra également les travaux des autres modules avec un soutien de résonnance par rapport aux travaux menés.
Au cours de la dernière décennie, l’Université de Liège a été impliquée dans de très nombreux projets soutenus par la Commission Européenne que ce soit en matière de recherche fondamentale (ERC, MSCA,…), de recherche collaborative (H2020, H Europe, LIFE,…) ou encore de recherche appliquée. L’
ULiège a aussi été très impliquée dans la précédente période de programmation Interreg avec plus de 80 projets financés, dont un très grand nombre en coordination: https://www.recherche.uliege.be/cms/c_10663586/fr/projets-interreg
Nous pourrons bénéficier du support de notre Administration centrale, qui possède une solide expérience en matière de participation et de gestion de divers types de projets européens. Cette administration peut compter sur une coordination efficace de ses différents départements (recherche et innovation, ressources humaines, service juridique, service financier). Plus précisément, pour la mise en œuvre de ce projet, les chercheurs seront accompagnés d’une personne du service RISE (Recherche, Innovation, Support et Entreprises) ainsi que d’un membre de la cellule justification en charge de la justification financière des conventions.
Plus particulièrement, Benoit Pétré, qui dirigerait l’équipe ULiège pour REMOCOSAN a déjà agi comme bénéficiaire chef de file des projets EDUDORA² et APPS des précédentes programmations.
Partenaire ( extrait du projet REMOCOSAN)